MAUX D'ENFER,
MOTS DE GUERRE
(Recueil collectif pour le centenaire de la bataille de Verdun)
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"Maux d'enfer, mots de guerre" sur leur page
Commentaires (5)

- 1. | dimanche, 04 septembre 2016
Bravo ! J'ai adoré toutes les histoires de ce livre. Toutes différentes, de style et de genre, mais toutes passionnantes. J'ai eu les larmes plus d'une fois, mais la lecture doit pouvoir émouvoir autant que divertir, non ? Merci pour ces bons moments passés ! Lisette

- 2. | jeudi, 09 juin 2016
Margareth, Nicole, merci pour vos commentaires, vous exprimez bien ce que nous ressentons : nous sommes divers, nous écrivons différemment, mais nous avons le sentiment très fort d'avoir réalisé un ouvrage commun. Votre lecture unifiante nous conforte encore plus dans ce sentiment. Merci et à bientôt dans un salon peut-être !

- 3. | jeudi, 09 juin 2016
Marie-Josée AMBARD : Les champignons se sont-ils dit ? Puisqu'il y a Guerre, normaux mais vénéneux serons-nous, et les années passent, et les gens visitent nos forêts où sous les desseins d'une clairière, des arbres millénaires savent raconter l'enfant qui à sa mère sourit et les belles histoires inachevées, et où on l'espère que tout se terminera bien. Cordialement. Stéphanie SADIN

- 4. | samedi, 14 mai 2016
Chers amis,
J’ai écouté les arbres me raconter…
J’ai rencontré le Dieu de la Guerre…
J’ai fermé les yeux du Provençal…
J’étais la compagne invisible de Léon… le Touille de Condé…
J’ai dormi aux flancs du p’tit Lebrun…
Je suis partie sur les routes avec la Louise…
J’ai aidé le Célestin à laver ses bottes pour la messe du Dimanche…
Je suis allée aux noces du Georges et de la Berthe…
J’ai aperçu furtivement le trou dans le dos du pépère Popaul…
Je me suis embourbée dans la glaise avec l’Armand…
Je me suis réveillée brutalement aux cris du soldat le jour de la capitulation…
J’ai pédalé comme une fine folle aux côtés de la Bertille…
Je n’ai pas eu peur du Monstre…
L’Amélie, la Lucie, et moi, étions stupéfaites par la politesse du Boche…
J’ai laissé la Madeleine et la Félicie se crêper le chignon…
J’ai dessiné la lignée de Marthe…
J’ai dansé sur les ponts de Meuse, de l’Aire, de la Saulx…, et d’autres…
Et enfin, j’ai eu ma Poupée…
Merci à vous… J’y étais…
Margareth
J’ai écouté les arbres me raconter…
J’ai rencontré le Dieu de la Guerre…
J’ai fermé les yeux du Provençal…
J’étais la compagne invisible de Léon… le Touille de Condé…
J’ai dormi aux flancs du p’tit Lebrun…
Je suis partie sur les routes avec la Louise…
J’ai aidé le Célestin à laver ses bottes pour la messe du Dimanche…
Je suis allée aux noces du Georges et de la Berthe…
J’ai aperçu furtivement le trou dans le dos du pépère Popaul…
Je me suis embourbée dans la glaise avec l’Armand…
Je me suis réveillée brutalement aux cris du soldat le jour de la capitulation…
J’ai pédalé comme une fine folle aux côtés de la Bertille…
Je n’ai pas eu peur du Monstre…
L’Amélie, la Lucie, et moi, étions stupéfaites par la politesse du Boche…
J’ai laissé la Madeleine et la Félicie se crêper le chignon…
J’ai dessiné la lignée de Marthe…
J’ai dansé sur les ponts de Meuse, de l’Aire, de la Saulx…, et d’autres…
Et enfin, j’ai eu ma Poupée…
Merci à vous… J’y étais…
Margareth

- 5. | vendredi, 06 mai 2016
Bonjour, j'ai lu et même "dévoré" votre livre Maux d'Enfer, Mots de Guerre. Chacun de vous, avec son style, a su dépeindre la vie, les pensées de ces hommes, ces soldats, de ces femmes et ces enfants qui ont vécu un enfer. Raconté ainsi par des petites histoires, j'ai trouvé cela très agréable à lire. Encore bravo et merci pour ce très bel ouvrage. Cordialement. Nicole, une fidèle Lectrice.